lunedì 11 luglio 2011

La danse, le noir, l'infini

A te voir danser
avec ta démarche légère et sans entraves
qui coulisse d’une manière indéfinie

j’aimerais te dire amour trois fois,
mais à moi il suffit d’un coup d’œil
parce que je sais que tes pas dorés
me sont dévoués, à moi et personne d’autre.
Je deviens spectateur,
dans une multitude de humeurs satisfaites,
comme la cible muette de la flèche,
décochée vers une nouvelle invitation,
comme la danse, le noir, l’infini.

Un cadeau

Ce cadeau allusif et léger
que j’ai reçu
par des mains inattendue
semble faire allusion à ce don
toujours attendu et jamais donné.

Je passe la journée à l’admirer,
tous les plis
l’épaisseur d’une mémoire,
chaque minute l’écho
discrète du passé.

Le lâche est lent comme
le geste à plusieurs reprises
ou peut-être jamais aventuré.

J’accueil, après un temps
qui semble interminable,
mais ce n’est qu’un éclair,
le secret caché.

Danse

Le sax est rendu vivant par un rayon
de soleil, ce qui perturbe
la calme et le remplit de fureur,
prêt comme un amant sur le premier baiser,

tremblant de son perchoir
dans un incendie
des réflexions complices,
qui le couvrent d’or et de luxure.

À sa droite, une guitare
blanc, lunar et déshabillé.
La batterie est couvert de tatouages
de lancinante esprit guerrier.
alors que le piano est dans une obscurité
silencieusement allongé,

Bien que la musique n’est
que dans ma tête,
léthargique et privés,
c’est là que le soleil a ouvert le bal
comme une danse d’amour.